Modalités d’accès à la formation
Tous nos formateurs, de par leurs expériences sont sensibilisés aux situations de handicaps.
Nous veillons au respect des conditions d’accueil des Publics concernés et étudions au cas par cas toutes les situations de handicap afin d’envisager une intégration dans la formation. Dans le cas où cela s’avérerait impossible, nous prévoyons une orientation vers des organismes appropriés.
Pour toute question concernant une situation de handicap, quelle qu’elle soit, et pour évaluer et anticiper les aménagements nécessaires à votre participation, merci de prendre contact avec :
Laureen BORGNA laureen@victoria-formation.fr – Tél : 04 42 50 21 16

VOS DROITS :
www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGISCTA000018524048
www.agefiph.fr
De quoi parle-t-on quand on parle de DYS ?
Les DYS, c’est la famille des troubles cognitifs tel que la dyslexie, la plus fréquente et connue, dysorthographie, dyspraxie, dysphasie, dyscalculie, trouble de l’attention. Ces troubles cognitifs concernent environ 8% de la population. Ils sont de mieux en mieux détectés chez les élèves mais vos stagiaires adultes peuvent très bien présenter des troubles sans avoir été détectés et donc avoir gardé une certaine amertume vis-à-vis de l’école. En effet, comme le disait une connaissance prof « pendant toute ma carrière, j’ai eu environ 50 cancres, avec le recul, je sais qu’il y avait parmi eux 40 DYS non détectés et 10 cancres au maximum ».
Ces personnes vont donc arriver en formation peut être avec un peu d’appréhension, c’est à vous formateurs de les mettre à l’aise et d’adapter votre formation pour favoriser la transmission des compétences.
Mais si je ne sais pas que mes stagiaires sont DYS, je fais quoi ?
L’idée est de proposer une formation qui s’adresse à tout le monde et qui permette aux DYS de se découvrir compétents alors que leur trouble leur bloque l’accès à certaines informations. Par exemple, si pour un même support, il est fait une présentation synthétique schématique du contenu ET un développement en phrases plus littéraires, chacun trouvera le support le plus adapté à son fonctionnement. Cela est vrai en général, certains préfèrent les textes, d’autres des dessins, c’est primordial pour les DYS. En effet, un dyspraxique peut ne pas comprendre des schémas, des flèches et ne pas réussir à la reproduire tandis qu’il sera à l’aise avec du storytelling tandis qu’un dyslexique sera moins efficace avec des phrases développées.
Les cartes mentales sont aussi un outil intéressant à utiliser pour vérifier que les stagiaires ont bien suivi vos explications